Aldi US s’associe avec DoorDash pour proposer un service de livraison à domicile.

À

 terme, les clients exigeront des acteurs du hard discount et des EDMP des standards de services équivalents aux enseignes historiques de la grande distribution. Mais quid du modèle économique ?

Aux Etats Unis, Aldi a conclu un partenariat avec DoorDash pour offrir un service de livraison d’épicerie  »on demand », dans la grande majorité des 2.278 points de vente de l’enseigne, qui est présente dans 38 États américains. 

Les clients peuvent commander des produits frais, de la viande, des fruits de mer, des produits laitiers, du pain, des articles ménagers essentiels et même des articles pour la maison grâce à la collection Aldi Finds. Les commandes sont effectuées sur l’application ou le site Web de DoorDash. Tous les magasins Aldi participants seront également référencés sur DashPass, le programme d’adhésion de DoorDash, qui offrira aux abonnés la livraison gratuite sur les commandes de 35 dollars ou plus.

En France, la grande distribution manque encore de tiers de confiance et de partenaires comme Doordash (justement) ou Instacart, pour les accompagner dans la gestion du dernier kilomètre. Pourtant, cette gestion du dernier kilomètre est cruciale, dans le contexte actuel où les clients recherchent des petits prix, sans pour autant vouloir sacrifier les avantages que représente un service tel que la livraison à domicile.