Green Retailtech, des outils stratégiques pour la transformation.
Les normes sociales et commerciales ont évolué. Les entreprises du secteur de la distribution et les marques se trouvent aujourd’hui à un moment unique où elles sont en mesure d’avoir un impact significatif sur l’environnement, et où les consommateurs recherchent de plus en plus de sens et de durabilité dans leurs achats. Aujourd’hui, le développement durable est un facteur clé de la réussite commerciale. Une transformation verte a un effet positif sur la planète, mais également dans une démarche commerciale vers une économie durable.
GreenRetailTech : un marché en pleine croissance.
Les investissements dans les start-up de technologies vertes sont considérables : 73,6 milliards d’euros ont été levés aux États-Unis au cours des cinq dernières années. L’Europe est à la traîne avec « seulement » 23,2 milliards d’euros levés sur la même période. .
Changement de paradigme : une urgence de transition.
Le réchauffement de la planète conduit au changement climatique et à l’épuisement des ressources. Il y a une urgence et un besoin de changement !
La volonté des consommateurs.
Les consommateurs ont compris que c’est avec leur pouvoir d’achat qu’ils ont un impact. Leur porte-monnaie est pour eux un moyen d’influencer les entreprises dans leurs activités. En 2020, selon une étude réalisée par IBM, « près de 80 % des consommateurs déclarent que la durabilité est importante pour eux ». « 57 % des consommateurs interrogés dans le monde entier sont prêts à changer leurs habitudes d’achat pour contribuer à réduire l’impact négatif sur l’environnement » ; selon Greenprint, « près des deux tiers (64 %) des Américains sont prêts à payer plus cher pour des produits durables ».
Mise à niveau des entreprises.
Les entreprises sont désormais tenues de répondre aux attentes des clients et de se conformer aux réglementations. Elles en tiennent compte. Selon une étude réalisée par IBM, 53 % des organisations interrogées considèrent la durabilité environnementale comme l’une de leurs principales priorités dans trois ans, contre 39 % aujourd’hui.